Déjà dans mon enfance je savais intuitivement que la violence faite aux enfants et pas seulement celle qui laisse des traces sur le corps avait un impact négatif, et ce tout au long de la vie. Cette violence, acceptable pour une grande partie de la population, que j’ai vécue dans mon enfance a fait en sorte que j’avais une très faible estime de moi-même, que j’avais tendance à broyer des idées noires et que j’avais des croyances sur moi-même, sur mes capacités, sur ma valeur et tout, tout, tout, très négatives. J’étais loin de me douter qu’un jour la science allait prouver ce qu’intuitivement j’avais compris depuis longtemps.
Lire la suiteJe viens de recommencer à prendre des douches froides et LA raison principale est que mon moral était bas. Tsé cet état lourd et disons-le franchement, dépressif!
Lire la suiteÇa paraît évident pour plusieurs d’entre nous que frapper un enfant avec un objet c’est violent. Frapper tout court est violent! Dans son livre Châtiments corporels et violences éducatives, Muriel Salmona nous offre une liste de violences éducatives ordinaires. Saviez-vous qu’enfermer un enfant dans sa chambre, le priver de nourriture, le menacer de violences physiques, jeter ses jouets et ses objets personnels, crier, menacer, humilier l’enfant comme en le forçant à s’excuser sont aussi des violences?
Lire la suiteMon amie va mal. Cette personne très chère à mon coeur vient de m’écrire que lorsqu’elle se sent mal, qu’elle se sent jugée, elle pense à moi. Elle m’écrit que ça l’aide et que ma bienveillance irradie même quand je ne suis pas là.
Lire la suiteAujourd’hui, j’ai envie de donner un exemple concret du soutien que j’ai offert à Benjamin et des conséquences de ce soutien. Comme moi, ils sont tout ce qu’il y a d’ordinaire, d’humain et si ce que j’ai observé chez Benjamin hier est arrivé (c’est positif!), ça peut arriver à tout le monde! Tout dépend de la relation.
Lire la suiteL’ex de Benjamin a repris contact avec lui. Il m’a donné des nouvelles alors qu’on était seul dans la voiture au début d’une grosse journée de préparatif au prochain déménagement. J’ai été un peu surprise. Je ne vais pas entrer dans les détails parce que je sais que ce n’est pas ce que voudrait Benjamin et ce n’est pas ma place de le faire (avant de publier ce texte, j’ai obtenu la permission de Benjamin).
Sous ma surprise, il y avait une pointe de déception. Est-ce le syndrome de « Elle n’est pas assez bien pour toi! »? Lorsque je vois cette dynamique interprétée au cinéma, ça me dégoûte parce que je ne valorise pas la position d’autorité dans la relation avec mes enfants. Une partie de moi sait que ce n’est pas à moi de choisir ou d’approuver les conjointes que mes enfants choisiront.
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